“tu te décales un peu et tu peux voir le sommet”

Larmoyant lardu
Larbin dudu
Du fond du cabinet
dépité, tu ricanes…
Larmoyant lardu
Larbin dudu
Du fond du cabinet
dépité, tu ricanes.
Sur ta canne
Quoi mieux faire?
En vlà une affaire
Un traité pourrait-on dire.
De la paix des pauvres, l’apprivoisement.
Tu te dandines les dents qui baignent dans l’aigreur.
Erreur? Stupeur que non
Eventré par l’appât du paradis,
Une bulle si frêle, pêlemêle
Qui nous mène à jeter la bouteille et à y croire
Passoire que nous sommes!
Les coups de fouets ne nous arrêtent plus
on se renfrogne – se rend force – se bodybulde
patiemment, on attend la fin
croyant, jusqu’au bout, à l’appât du gain.

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